L’homophobie est un réel problème de société, en France et dans d’autres contrées du monde. Elle est un frein conséquent à l’épanouissement et au bien-être des membres de la communauté LGBTQI+. Cette aversion envers cette minorité est retranscrite dans des agressions, morales ou bien physiques. Bien que l’ouverture d’esprit soit plus grande à notre époque en France, certaines personnes demeurent enfermées dans une pensée homophobe arriérée. Cet état d’esprit d’un temps qui devrait être révolu, continue de faire souffrir les membres de la communauté. La minorité est alors perpétuellement persécutée et discriminée dans la société. Un bien trop grand nombre de personnes dotées d’un QI aussi élevé que celui d’une huître, ne connaissent pas le sujet et ne cherchent pas à le comprendre. Ce qui donne lieu à des comportements dignes de véritables lycéens, victimisant les plus faibles par manque de conditionnement aux évolutions du monde qui les entoure. Pour venir en aide aux victimes de ces préjudices et faire changer les mentalités, de nombreux mouvements de contestation et des associations se sont mises en place dans l’hexagone, tels que la Pride et le centre LGBTQI+ de Paris.
Malheureusement, dans le monde, certaines nations abhorrent les orientations sexuelles différentes de la « norme » qu’est l’hétérosexualité et les condamnent. Que ce soit par son gouvernement ou à travers l’endoctrinement de sa population, l’Iran fait partie de ces nombreux pays où l’homosexualité est illégale et aussi mal perçue et sévèrement jugée qu’un meurtre… La majorité du peuple affirme, non sans fierté et humour, qu’ils souhaiteraient plutôt tuer leur enfant et se suicider, que de compter parmi ses descendants, une personne homosexuelle.
Aux États-Unis, les LGBTQI+ sont davantage acceptés. Cette ouverture aux nouvelles mœurs est dû à des figures emblématiques qui ont passé leur vie à lutter pour les droits des membres de la communauté arc-en-ciel, à l’instar d’Edith Windsor.